Entretien EAK cahier 39
23 Avec les trois IA avec, bien sûr, la nouvelle politique publique sur l’IA. Je vous ai donné à peu près les grandes idées. Le point de conclusion, c’est qu’il faut repenser notre façon de travailler, et pour cela, nous avons rencontré deux personnes très intéressantes. Celui qui est aujourd’hui le directeur du futur du travail, de la Singularity University à San Francisco, qui nous explique que les trois compétences pour repenser ce métier, ce sont l’agilité, repenser sa valeur ajoutée et repenser le travail en mode collaboratif avec les IA et avec les hommes. Nous avons rencontré également la plus grande neuroscientifique de Berkeley, qui explique comment les neurosciences vont nous aider à être capables de gérer les biais cognitifs et de gérer tous les problèmes qui surgissent avec l’IA. Nous avons essayé de retranscrire tout ceci dans cet ouvrage avec trois temps : l’être, les lieux et l’autre. L’être, ce sont les nouvelles compé- tences, les lieux, ce sont les nouveaux contrats de travail, ce qui fait qu’un lieu fonctionne ou non, et l’autre, c’est comment travailler enmode collaboratif et, demain, travailler avec les IA. En complément des mooc qui sont sur des semaines données, il y a une chaîne YouTube qui s’appelle « Les jeudis de Cécile », et il y a plein de petites interviews de troisminutes de DRH, de scientifiques, de start-up dans le monde entier, qui donnent leur point de vue sur la manière dont l’IA change les modèles économiques, les métiers. Par exemple, hier, c’était sur la manière dont une start-up présente de nouvelles façons de recruter avec l’IA. Il y a quinze jours, c’était la DRH de Carrefour qui expliquait comment, en automatisant un entrepôt, elle avait créé 80 nouveaux emplois qu’elle ne connaissait pas. C’est pour ouvrir et donner du contenu tout au long de l’année.
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