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En quelques mots

Le projet des Entretiens Albert-Kahn est né de la volonté de Patrick Devedjian, président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine, de favoriser une réflexion transversale sur les grandes questions de société, en particulier celles liées à la mondialisation.

Les Entretiens Albert-Kahn proposent :

  • les Entretiens Albert-Kahn, rencontres entre les élus, les agents et les partenaires du Département pour réfléchir de manière décloisonnée et transversale à des sujets de prospective socio-économique et politique; ces conférences sont podcastées et font l'objet de publications ;
  • les Entretiens Albert-Kahn "internes", rencontres destinées aux élus et aux agents du Département pour approfondir des sujets d’innovation managériale ;
  • les Entretiens Albert-Kahn "hors les murs" en partenariat avec des associations ou des institutions en dehors de la Maison Albert-Kahn pour toucher un public plus varié ;
  • les expérimentations en matière d'innovation sociétale (tiers lieux, économie collaborative, renouveau du travail social, agriculture urbaine, évolutions des modes de vie, etc.) qui sont conduites en amont des politiques publiques du Département et lui permettent d'anticiper et de s'adapter aux évolutions de la société.

Le jeudi 23 février, les Entretiens Albert-Kahn, organisés par le Département des Hauts-de-Seine, se sont penchés sur le thème de la stratégie de la bienveillance ou l'intelligence de la coopération.

Le vendredi 23 septembre, les Entretiens Albert-Kahn, organisés par le Département des Hauts-de-Seine, se sont intéressés à la manière dont la création métamorphose l’espace urbain en termes plastiques, artistiques, mais aussi culturels et opérationnels.

Vendredi 3 juin, un séminaire, destiné aux agents du Département, était organisé dans le cadre des Entretiens Albert-Kahn, le laboratoire d'innovation publique des Hauts-de-Seine. Bilan et partage d'une expérimentation sociale novatrice.

Photo : Département des Hauts-de-Seine/Stéphanie Gutierrez-Ortega

Les indicateurs permettant de déterminer le niveau de bien-être des humains deviennent de plus en plus complexes, ne se limitent plus uniquement à la mesure du PIB et intègrent de nouvelles données. Notion subjective par excellence, l’estimation du bien-être est devenu un critère d’attractivité d’un territoire.

Photo : Département des Hauts-de-Seine/Olivier Ravoire

Quel mode de gestion pour les biens communs ?
Existe-t-il un espace entre la gestion publique et la gestion privée ? Les derniers Entretiens Albert-Kahn ont tenté de répondre à la question.